En entrant dans Izamal, la lumière fût. Non pas que le soleil ait daigné pointer le bout de son nez, mais plutôt parce que tous les bâtiments de cette très jolie ville coloniale sont peints en jaune.
Un calme fantastique y règne, le marché est d'une richesse exceptionnelle, les gens chaleureux et les femmes très sensibles à l'humour français (masculin, l'humour, cela va de soi).
Don Antonio Lopez, le conteur d'histoires et professeur de maya d'Izamal |
On appelle Izamal la ville des trois cultures. En effet elle était le centre religieux maya le plus important de la péninsule avant d'être dominée par Chichen Itza, et des pyramides trônent encore en plein centre-ville.
L'architecture est entièrement coloniale, avec sa place centrale et sa très imposante église jaune.
En plus des vélos et autres tricycles, un moyen de transport très commun est la calèche de type européenne façon XVIIIème siècle.
Les voilà les trois cultures: quand les mayas rencontrent les colons ça donne 500 ans plus tard un village hybride très harmonieux.
Izamal est aussi le village de l'artisanat. De nombreux artisans, artistes devrais-je dire, travaillent chez eux et ouvrent les portes de leur atelier aux visiteurs. Je m'en suis donné à coeur joie evidemment.
Papillons en papier mâché
Sculpture sur bois
et les fameux hamacs yucatecas.
Izamal est le lieu idéal qui combine art, culture, gastronomie et proximité avec les habitants. Au passage je recommande l'hotel Santo Domingo, qui nous ont accueillis comme des rois, enfin... des empereurs mayas!
C'est B E A U !!!!!!
RépondreSupprimerque dire de ce reportage nous finissons par ne plus avoir de mots. on se contente d admirer le beaute des photos.merci a toi kristel bisous
RépondreSupprimerYellow.Le monde est bleu...ou jaune.Cela me rappelle celui que l'on découvrait, enfant, en filtrant le regard au travers des papiers de bonbons...jaunes. Tout à coup il y avait du soleil, tout à coup tout était beau, facile, riant, gai...jaune.
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